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never let me go.
De mes initiales EOM, on me nomme Eugène qui signifie "bien né" en grecque. Aujourd'hui c'est devenu un prénom peu fréquent, on peut dire que mes parents ont eu toujours du goûts pour l'originalité, même si je n'en suis pas adepte. C'est un mardi huit novembre 1976 à Yellow Grass devant des regards attendris, que je dormais dans les bras de ma mère. Afin d'éviter de tourner un peu vos méninges pour faire le calcul, je vais vous simplifier la tâche en disant que j'ai trente six ans. Je suis considéré comme une personne ayant un caractère bien trempé, je ne me laisse pas faire, que la personne soit un grand type baraqué ou un gosse de cinq ans qui m'accuserait de lui avoir crevé son ballon. Si on me cherche, on aurait tendance à me trouver plutôt rapidement, ma répartie est une arme à ne pas négliger. Plusieurs s'en seront mordus les doigts après m'avoir provoqué. Grand professionnel du sarcasme et du cynisme, j'aurais tendance à passer incroyablement et facilement pour une personne désagréable. Si l'ironie et l'humour noir n'existaient pas encore aujourd'hui, je pense que je les aurais inventés. Manier les mots est une sorte d'art pour moi. Malheureusement, il est bien rare de me voir m'en servir à des fins positives... ce qui est assez paradoxal pour un médecin. Rancunier d'ailleurs, le pardon n'existe pas. Hors de question de donner une seconde chance à quelqu'un qui m'aurait vexé, cherché ou tout simplement dépassé. Ajoutons à tout cela le fait que je suis aussi lunatique... Oui, je semble être fait que de défauts. Un simple petit problème pourrait faire disparaître ma bonne humeur. Cet aspect de ma personnalité pourrait d'une certaine façon être plutôt effrayante. Je déteste aussi que l'on vienne me dire ce que j'ai à faire, je considère savoir suffisamment m'occuper de moi-même pour ne pas recevoir de stupides conseils de la part de mon entourage. Mauvais perdant, si je ne gagne pas, c'est une véritable catastrophe. Je me montre souvent rusé et d'une perspicacité mordante, me réjouissant de prendre les gens à partie, et me moquant souvent de leurs faiblesses. En effet je suis un escroc qui utilise audace et duperie pour réaliser mes objectifs. Rusé, je n'ai en principe aucun scrupule à jouer avec les sentiments des autres... vous l'avez bien
compris je suis manipulateur. Cependant j'affirme être un homme de parole et montre de la stupéfaction à l'égard des gens qui doutent de mon honnêteté. Sans oublier que je suis un anticonformiste qui ne s'intéresse que très peu de la perception qu'ont les autres de moi. Généralement, à chaque fois que je parle, je montre les pires cotés de l'Homme. Cependant, je semble ne pas me considérer comme étant une mauvaise personne mais plutôt comme un être parfait ou supérieur. A la fois gâté, lunatique, insensible, égocentrique, égoïste et très antisémite... j'ai tout pour plaire ! Néanmoins certains de mes proches me voient aussi, comme un ange tombé du ciel. En effet je peux être la gentillesse réincarnée si l'on en retire les notions péjoratives, certes très généreux et à l'écoute des autres, j'ai besoin d'éprouver un sentiment de protection envers les plus faibles. Hélas, c'est un aspect de ma personnalité qu'on entrevoit rarement. J'ai mon armure ou plutôt une carapace dirons nous, une défense qui me protège de toute personne étrangère.
Mon adolescence ? C'est une époque de ma vie, où je voudrais y retourner... Et oui ma jeunesse était tour à tour déchirée, révoltée, mélancolique, passionnée, intransigeante. Je pouvais incarner tous les sentiments à la fois, amoureux, triste, enthousiaste et déçu. Mais c'était d'abord une formidable envie, l'envie de croire, l'envie d'aimer, l'envie de savoir, l'envie de vivre. Ce n'était pas le moment le plus heureux de ma vie mais c'était le plus exaltant, celui où tout paraissait possible, où j'avais le sentiment que je pouvais tout vouloir. L'avenir m'appartenait pensant que le monde était à moi. C'était l'âge où je croyais dur comme fer qu'un rêve pouvait à lui seul changer le monde. J'osais tout et sans limite parce que je construisais mes propres frontières.
Des regrets ? Ma phrase fétiche est :« Il ne faut jamais rien regretter sinon les regrets reviennent vous enterrer vivant. » Alors, oui, je peux me tromper. Et je me tromperais forcément dans ma vie. Mais j'aurais choisi mon chemin, j'aurais fait un acte de ma propre volonté et de ma propre liberté. Regretter, s'est renier tout cela. Je dois donc choisir et ce pour tout ! Pas seulement pour le dentifrice, la purée en flocon ou la couleur de la veste... Non, pour des choses importantes, de celles qui vont déterminer ma vie. Ce sont celles là, les plus dures, celles que je retarde souvent le plus possible quand j'ai conscience de leur enjeu. Mais au final je ne regrette pas, j'assume et j'apprends de mes erreurs. Chacun de mes choix, bons ou mauvais, fais de moi ce que je suis, alors je n'aurais jamais de regret.
« CHAQUE BIOGRAPHIE EST UNE HISTOIRE UNIVERSELLE. » A la saison des fruits secs, des pommes, des champignons... les arbres brillent de mille feux. Les feuillages jaunissants sur les gazons, parmi quelques feuilles s'envolent grâce au vent, mais leur chemin vont se terminer sur un étang afin de mourir paisiblement. L'automne était déjà installé au nord du Canada, et c'est un mardi huit novembre où toute la famille était là, réunie pour cet heureux évènement. Le père de l’enfant regardait fièrement ce petit bout d’homme qui était son fils tandis que les grands-parents étaient déjà en train de le comparer à ses parents. Ils lui trouvaient le nez de sa mère, les lèvres de son père et encore bien d’autres points communs. Le petit bambin eut la chance ou la malchance selon le point de vue de naître dans une bonne famille. Étant donné que son père, est un grand chirurgien, il ne lui accordait que peu d'attention et sa mère accaparée par cette vie trop impersonnel avait sombrer dans l'alcool et ne pouvait s'occuper de lui. Sa grand-mère musicienne, quand à elle lui donna ses premières leçons de piano et sa nourrice le berça de contes populaires. Ainsi boit-il d'emblée à deux sources : la musique et la littérature.
Le jeune enfant fut élevé par une bonne que ses parents avaient engagée, une hispanique émigrée de Mexico. Mais le plus important fut l'éducation de sa gouvernante, jamais il n'aurait pu rêver mieux. Les valeurs furent quelque chose de primordial dans son éducation, surtout le respect à vrai dire. À neuf ans, il était assez bon pianiste pour jouer en public, Eugene était un petit prodige pour combiner les notes, les nuances et le silence, c'était devenu aussi naturel pour lui que parler. Très rêveur il se réfugia dans un monde imaginaire où il s'inventa de belles histoires où tout serait parfait et tout ne serait qu'insouciance. Perdu dans ses pensées, un jour il rencontra une fille de son âge dont ses cheveux était couleur d'or, elle s'appelait Harmony, ils partirent main dans la main se balader par cette belle nuit étoilée dans la forêt qui restera gravée à jamais dans leur mémoire... à ce moment-là une très belle amitié entre ces deux enfants naquit. Arrivé au collège, le jeune petit garçon commença à entrer dans l'adolescence, il était plutôt désorienté. Il ne faisait que travailler, comme si c'était une passion ! Ne laissant pas les gens rentrer dans sa vie, il collectionnait les A+, et était le petit mister je sais tout du collège, ce qui agaçait pas mal les esprits. Étant un élève studieux, il apprenait toujours ses leçons, participait en classe. Ses professeurs étaient toujours très contents de lui, et bénissaient Dieu d'avoir un élève comme celui-ci. Son père était bien décidé à ce que son fils à la fin de sa scolarité vienne travailler avec lui dans son hôpital. Néanmoins Eugene avait toujours eu envie de devenir musicien, depuis tout petit cet idée lui trottait dans la tête... Il avait développé ses talents de pianiste, et pour une fois il brillait autre part que dans le cœur de ses parents et sur papier... il était heureux ! Puis un évènement va lui libérer de sa timidité, en effet ce dernier va soudainement tomber sous le charme de Harmony, son amie d'enfance... grâce à celle-ci notre jeune homme pu se décoincer un peu tout en lui révélant un aspect de sa personnalité qu'il n'avait jamais connue. Certes Eugene remarqua qu'il était macho, et oui il avait bien du mal à conquérir les filles, ce qui est normal puisque selon lui, embêter et tirer les cheveux d'une fille était le meilleur moyen pour lui faire comprendre son amour ! Les mois qu'ainsi une année passent et voilà que notre jeune adolescent ouvre son cœur et fait une déclaration plus ou moins originale. Cela avait marché et voilà que Eugene et Harmony sortaient officiellement ensemble.
La transition collège/lycée ce fut dans une simplicité déconcertante, chacun avait plus ou moins de difficultés mais lui non... Il commençait à adopter les points de vue de son passé et était bien décidé à devenir pianiste, il bossait dure comme fer pour y arriver... Jusqu'au jour où tout s'effondra ! Quelques mois après la rentrée, une catastrophe survint. La mère de Eugene, avait été retrouvé noyée dans son bain, une boîte de cachets renversée sur le sol. Après seize années de semi-vie, elle avait finalement décidé de mettre fin à ses jours. Alors que son paternel qui malgré ses airs de bourreau de travail et le fait qu'il ne passait jamais beaucoup de temps avec son épouse ainsi qu'avec son enfant fut anéanti. Il adorait sa femme mais ne s'était pas rendu compte dans quel gouffre elle s'était enfoncée. Tandis que Eugene était infiniment triste de la mort de sa mère, même si elle n'avait pas été très présente dans sa vie. La présence de sa gouvernante rendait les choses moins pénibles. C'est à cette période où son caractère se mit à évoluer peu à peu. Étant enfant il était toujours très obéissant, très sage et soucieux de tout, l'adolescence fut un tournant majeure dans sa vie. Petit à petit, le dialogue entre son père et lui se brouillât, les notes descendirent, car notre jeune homme trouvait que l’alcool était le plus important et surtout la fête ! Il avait goûté ce petit plaisir et avait de plus en plus de mal à s’en défaire ! Il n'étudie plus, et ne cesse de multiplier les bévues, cependant il s'est fait des amis, c'était un petit groupe de six jeunes de son âges dont notre jeune homme faisait partie... Bien que Eugene insultait et se moquait fréquemment de ses camarades, il était parfois plus lâche que ces derniers face à une confrontation physique. Étant l’anti-héros du groupe, notre jeune homme était le chouchou de ses amis du fait qu'il était le plus actif et qu'il lui arrivait fréquemment avoir des idées ridicules ou offensantes et, lorsqu'on avait l'impression qu'il avait réussi son coup, ses bêtises se retournaient inévitablement contre lui. Les talents de Eugene en matière de manipulation ont l'occasion de s'exprimer sans aucune limite lorsqu'ils s'appliquent sur sa bande copain, dont l'insondable crédulité se complète à merveille avec le machiavélisme de ce dernier. Cet antagonisme donne alors des moments d'anthologie, comme un moment donné où Eugene parvînt à cacher un de ses amis pendant une semaine en lui faisant croire qu'un météore avait détruit Yellow Grass.
Mais Eugene commença à fumer, et testa un peu tout. Il devint un peu moins ouvert aux autres, son caractère était lunatique, il avait même parfois des sautes d'humeur. A cette époque il n'avait plus trop d'idées d'avenir, il vivait au jour le jour. Son père, de plus en plus obstiné dans l'idée de faire travailler son fils à l'hôpital lui fit prendre des cours de science par des professeurs qui venaient chez eux après la classe. Mais Eugene s'en fichait éperdument, une seule chose comptait pour lui, devenir majeure et être enfin libre. Les mois passent et son père avait rencontré une autre femme avec qui il s'était remarié et avait eu deux autres enfants par la suite. Le jeune homme n'avait aucune envie de côtoyer sa belle-mère et passait le moins de temps possible en sa compagnie. Après cette période où il se cherchait, Eugene devint un homme tout à fait respectable, mais son caractère n'avait pas changé pour autant, il était toujours très en retrait des autres, il aimait la solitude et ne cherchait pas le contact. Alors il décida de partir de son cocon familiale de manière à poursuivre ses études de médecine à Ottawa, après avoir atteint sa destination, une renaissance ainsi qu'un soulagement se fit ressentir, loin des conflits familiaux, Eugene peut enfin respirer. Arrivé à l'université, notre jeune homme s'oriente dans la médecine laissant derrière lui sa copine, sa famille ainsi que sa passion pour le piano. Malgré que notre jeune homme faisait les quatre cents coups avec ses amis, cela ne l'empêchait pas d'être un excellent étudiant. Il a même fait partie d'une confrérie. Chaque soirée il passait son temps à faire la fête et à pratiquer tous les pêchés que ce monde peut contenir... c'était comme s'il possédait la boîte de Pandore entre ses mains. A sa première année d'étude ce dernier voyait un peu plus clair dans son avenir professionnel, certes il allait suivre les traces de son père.
« CE QUE LA CHENILLE APPELLE LA MORT, LE PAPILLON L'APPELLE RENAISSANCE. » Puis un soir de mai, lors d'un gala de charité, ce dernier a tout de suite accroché avec cette fille qui dégageait quelque chose de puissant, d'intrigant, une fragilité et autre chose qui ne le laissait pas indifférent. Mais à cette période là, elle était en couple avec un homme avec qui elle flirtait régulièrement, une relation étant surtout basée sur de « l'amitié câline ». Cependant Sutton avait l'envie de changer, de mûrir. Pas si évident lorsqu'on est sacrément accrochée de son compagnon. Et puis un jour, elle décida de jouer avec le feu. Elle s'engagea d'inviter Eugène chez elle, pour un dîner en tête- à-tête, ce qu'il accepta sans se poser de question. Ce soir-là, ils se tournaient autour sans jamais rien tenter, évidemment, la situation a joué en leur faveur, puisqu'ils se sont retrouvés à s'embrasser tendrement. Après avoir beaucoup parlé, ils se sont mis d'accord pour « devenir officiellement un couple ». Les trois premiers mois ont passés, absolument magiques ! Eugène était dans une bulle de bonheur, ils étaient devenus un peu une référence chez leurs amis, qui voyaient en leur couple un vrai pilier indestructible, tout allait bien, malgré les jalousies de temps en temps. Pourtant ils ont traversé beaucoup de moments à deux, de très durs comme de très bons, toujours soudés, et plus amoureux que jamais. Eugène lui disait « Tu es la plus belle des nanas, celle qu'on aime tant, et non de temps en temps » Oui, cela lui arrivait d'être un poète dans l'âme de temps à autre. Après deux ans d'amour fou, Eugène a finalement fait sa demande en mariage... deux semaines après cette fabuleuse annonce, notre jeune homme, découvre sur son bureau, une petite boite rose, à l'intérieur un petit mot écrit : « Ça te dit d'être papa ? »... Bientôt marié, bientôt père... le rêve !
C'est une belle journée d'été que le Wedding Cake à la crème fouettée, que la cérémonie dans le jardin au style californien et que le cortège de jeunes filles aux robes si joliment assorties étaient bien réel... c'est ce jour là où tous les amis et la famille étaient réunie pour voir le jeune couple se dire "oui". Cinq mois plus tard, le couple va pourtant battre de l'aile, en effet Sutton remarqua que son mari n'est qu'un coureur de jupon, plusieurs semaines de dispute et d'incompréhension, la communication commença à rompre, mais étant enceinte Sutton supplie son mari de rester auprès d'elle, chose qu'il fait ! Alors qu'ils sont encore à l'université, c'est un dimanche que la petite Ambre pointa le bout de son nez dans la maternité d'Ottawa, pensant que cet évènement florissant allait ressouder le couple, ce fut le contraire, en effet entre les nuits blanches pour apaiser les pleures de sa fille, les cours et tous ses petits détails anodin pour certaines personnes, fut une mauvaise occurrence pour les deux étudiants.
A la fin de ses études, notre jeune homme finit par avoir son diplôme avec brillot, il finit premier de sa promotion... avec ses résultats, Eugene fut muté au Québec de manière à faire ses années d'internat, celui-ci profita pour mettre un terme à son couple et de demander le divorce, même s'il devait fuir ses responsabilités de père.Chaque soir, il téléphonait à sa fille en prononçant une quelconque parole de réconfort, néanmoins impuissant face à sa détresse, notre jeune interne a peur de la perdre, et de ne plus revoir Ambre, on peut dire qu'elle lui manque énormément, et bien que ses pensées et son cœur soient toujours dirigés vers elle, Eugène essaye de reprendre confiance... en gardant toujours un peu d'espoir.
« LE SEUL MOYEN DE CHASSER UN DÉMON, EST PARFOIS DE LUI CÉDER . » Au jour d'aujourd'hui, cela fait quatorze ans qu'il travaille à cet hôpital, ce dernier est brillant et a toujours été major de ses promotions que ce soit en université ou en interna. Durant tout ce temps, il a su se construire une réputation d'un homme froid, mécanique et dépourvu de la moindre courtoisie. Il est dévoué corps et âme à sa carrière et avance avec la subtilité d'un char d'assaut. Seulement le destin a d'autres plans pour lui, et il sera bien obligé de faire avec ces petites choses bien encombrantes que l'on appelle émotions et sentiments... ce qui n'est pas sa tasse de thé pour vous dire ! Son côté très sur de lui, fière avec un égo sur dimensionné se cache un vrai manipulateur, vrai Don Juan il n'hésite pas à retourner le cerveau des filles de manières que ces dernières finissent dans son lit. Mais sous ses cheveux grisonnant, Eugène va tomber sous le charme d'une résidente... passionnante à tous les niveaux comme il en a rarement vu, pleine de vie, de justesse et de sensibilité, cette fille lui a marqué et a réussi à aviver sa curiosité. Tandis que Grace le repousse sans mâcher ses mots, cela fait qu'augmenter son attirance et d'aller jusqu'au bout de sa découverte, autrement dit de mieux la connaître.
En effet son intérêt envers elle est sans cesse, et même crescendo, au fur et à mesure qu'il la découvre, Grace semble posséder de facettes différentes, tel un diamant taillé, produisant par accumulation un léger vertige, qui semblent se répondre à l'infini, comme autant de miroirs placés face à face, ou tel un cristal taillé renvoyant d'innombrables images. Lorsque son regard croise celui de Grace, notre chirurgien se trouve considérablement sur un petit nuage, cependant l'arrivée de sa fille va tout de suite le faire redescendre sur terre, certes Ambre est à sa première année de interna et a su tout de suite la réputation de son père via aux infirmières, celle-ci n'hésite pas à lui remontrer les bretelles lorsque Eugène parle des femmes. Sous ses airs de misogyne il montre une grande affection pour les femmes, particulièrement pour Grace, ce que Ambre n'accepte pas, étant donné qu'elle la trouve trop jeune pour son paternel.