cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature...
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Tobias C. Cellini
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⊿ DATE D’ARRIVÉE : 20/01/2012
⊿ PSEUDO : june
⊿ AVATAR : nico tortorella
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Sujet: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Ven 20 Jan - 20:25
tobias cesare cellini.
every artist dips his brush in his own soul, and paints his own nature into his pictures. (henry ward beecher)
NOM ◭ Cellini (prononcer chèllini).PRÉNOM(S) ◭ Tobias Cesare (prononcer chèzaré).SURNOM(S) ◭ aucun. ÂGE ◭ vingt-et-un ans.DATE ET LIEU DE NAISSANCE ◭ trois janvier 1991.MÉTIER/ÉTUDES ◭ son petit boulot du moment : guichetier au Musée d'Art Contemporain de la ville. Mais lui se considère purement comme artiste peintre. Son atelier, c'est toute sa vie.SITUATION FINANCIÈRE ◭ il ne croule sûrement pas sur l’or, mais il vit très simplement, au jour le jour, et pour l’instant, le peu qu’il gagne lui suffit.STATUT CIVIL ◭ célibataire.TRAITS DE CARACTÈRE ◭ renfermé, fragile, discret, timide, maladroit, sensible, naïf, romantique, passionné, doux, secret, confiant en lui-même uniquement un pinceau entre les doigts.GROUPE ◭ les habitants.AVATAR ◭ Nico Tortorella.CREDITS ◭bannière par perfectmens (tumblr).
▽ ▽ ▽
love the way you lie.
QUE PENSES-TU DE LA VILLE ? Je crois qu'elle est belle et riche, et qu'elle m'inspire. Montréal est une ville charmante. DEPUIS QUAND ES-TU ICI ? Depuis longtemps... Disons que mes parents et moi avons déménagé au Canada en 1994, et que je suis à Montréal depuis mes dix-sept ans. CROIS-TU EN L'AMOUR ? Oui, non, peut-être; si seulement je savais ce que c'est véritablement, peut-être alors saurais-je vous répondre. QUE REPRÉSENTE LA VIE POUR TOI ? La vie n'est qu'un immense tableau rempli de détails qu'il nous appartient de relever ou nous... sans compter que la palette de couleurs est à nous, même si parfois mettre de la couleur semble impossible. Oui, la vie est aussi éphémère et, paradoxalement, aussi éternelle qu'une peinture.
il voit le monde par les yeux d'un peintre : la luminosité, la couleur, la beauté d'un paysage ou d'un instant saisi au vol... il est véritablement sensible à tout cela, ce qui le rend très différent des autres. il a obtenu un diplôme prématuré en Beaux Arts grâce à son inconditionnel talent. il enchaîne les petits boulots car il reste artistiquement plutôt inconnu. le contact avec une quelconque forme de culture le transcende : il aime l'odeur des vieux livres, le silence des bibliothèques, l'atmosphère feutrée des salles de théâtres, la chaleur des boîtes de jazz, la fragilité des toiles et des sculptures... il possède une petite chienne, Angie, à laquelle il aime bien parler.
▽ ▽ ▽
never let me go.
Les pans immaculés de sa chemise aux manches retroussées flottent, défaits autour de son torse, au gré de ses gestes éperdus. Derrière lui, sa précieuse platine égraine les arpèges voluptueux du Requiem de Mozart ; le diamant entraîne le vinyle dans une course effrénée, le craquement imperceptible du vieux disque donnant un volume ineffable à cette grandiose composition. Tandis que le chant monte et remonte dans un frisson électrique le long de sa nuque, le jeune homme s’affaire devant la toile ; son pinceau danse avec une grâce inouïe sur le lin, semant les couleurs dans une harmonie absolue. Ses yeux sont voilés par la transe qui dirige ses grands gestes évasifs et pourtant si fins, si précis ; le regard absent poursuit le ballet de la brosse. Enferme l’explosion interne d’émotions dans le tracé de sang et d’ébène, qu’il cultive avec une virtuosité incomparable. L’Art est à son paroxysme. Son souffle vibre avec une ferveur insoupçonnée, les battements de son cœur filant après la mesure de Lacrimosa. Inspiration féconde ; il a toujours aimé se sentir possédé d’une telle façon, autant par l’éternelle et bouleversante musique que par ce féroce engouement, force destructrice écrasant sa poitrine, halètement échouant à la coupe de ses lèvres entrouvertes et baignées d’une sensualité nouvelle. Le peintre dans toute sa splendeur, caressant de son pinceau le sommet ultime, l’accomplissement suprême. Le brun de ses cheveux traduit l’agitation, les sentiments qui fourmillent derrière ce front perlé de sueur ; la pâleur de sa peau diaphane incarnant la pureté, lorsque la valse du tissus terne laisse s’imposer par moments cette poitrine gonflée d’une vie débordante. D’un bonheur désespéré, presque douloureux. Quand on n’a jamais eu cette fureur de vivre, la connaître par la sublimation est synonyme de violence volcanique.
Et il n’y a que dans ces instants qu’il s’abandonne. Métamorphose stupéfiante, il semble que le vieux bois tâché du pinceau fasse du garçon un homme. Un autre homme. Un homme sublimé par une maîtrise totale, une confiance assurée. Et pourtant, dès lors que les couleurs se mêlent et se diluent dans l’eau qui les efface jusqu’au matin suivant, c’est sa vraie nature qui le reprend inévitablement, le rappelant jalousement à elle. Timidité brisée se reforme autour du cœur qui se recroqueville… et la lueur dans les yeux qui s’éteint, et les soupirs passionnels qui s’emmurent à nouveau dans le silence. Le cour du temps s’inverse : le papillon entre dans la nuit humide de sa chrysalide et y cache ses ailes fragiles, voilant à la face du monde leurs magnifiques dessins.
Efface la flamme dans mes yeux. Balaye les couleurs de mon bonheur. Assassine encore mon cœur tourmenté.
Mais jamais tu ne me prendras mon Art.
***
Ses douces mains lentement me défont de ma chemise, et celle-ci vient s’étaler à nos pieds dans un bruit étouffé. Puis elle glisse ses mains dans son dos, et bientôt la cascade rousse de sa lourde chevelure dévale jusqu’à la pointe de ses seins nus. Brasier rougeoyant sur la neige de sa peau laiteuse, aussi flamboyant que son sourire, que sa personne toute entière. Mes yeux retracent les contours de sa silhouette mince, mes mains caressent sagement le renflement des hanches. Je lis cette envie dans ses grands yeux verts, réceptacles de cette force qu’elle me transmet d’un regard depuis quatre ans maintenant ; puis elle abandonne ses lèvres à ma nuque, et mes longs doigts d’artiste viennent redessiner les minuscules tâches brunes qui mouchètent sa peau diaphane. Je sens cette envie dans ses baisers lascifs, je sens cette envie envahir son corps chaud… Je la sens partout ; partout, sauf là où elle devrait se concentrer avec une impatience fiévreuse. Partout, sauf en moi. Les ronces enserrent mon cœur et je profite qu’elle ne me voit pas pour abandonner mon regard grisonnant dans le vague, les paupières lourdes et le goût âcre du doute giclant avec force contre mon palet. Pourquoi ai-je cette impression qu’elle est si loin de moi… Ou n’est-ce pas moi, qui suis loin d’elle ? Depuis un moment déjà, je sens ce malaise ramper dans ma gorge, et pourtant je m’interdis d’en défaire les nœuds. Pas de larme, pas de questions. Rien, je ne lui dis rien ; son sourire m’est trop précieux pour que je m’applique à le défaire point par point. Et pourtant, mon soliloque intérieur, après s’être fait incessant, est devenu assourdissant. C’est comme si je baignais dans un flou artistique, d’où surgissaient parfois des traits charnus de couleurs criardes, de couleurs assassines.
***
J’ai rencontré Queenie à mon arrivée à Montréal. Vieil homme dans une peau d’adolescent dépressif, c’était peut-être de ça que je donnais l’impression. Je portais dans mes yeux le voilage des lourds secrets – autant de lourdes peines traînées pour des crimes qu’on m’avait abattu sur le dos, me faisant croire à ma propre culpabilité. J’étais ce garçon irrévocablement triste qui passait son temps seul, et dont la lassitude sans bornes rendait pareil à un vieillard. J’étais ce stéréotype de l’artiste suicidaire et animé par la folie lorsqu’il se mettait à peindre ; celui que l’on ne voulait pas voir, et que personne n’avait jamais cherché à connaître. Dure loi des préjugés… tu as mis ma vie entre parenthèses, tu m’as privé d’existence. Jamais, en dix-sept ans, je n’avais eu l’impression de vivre. Tout n’était que la constante du temps, la fuite vers une fin que, si je ne cherchais pas à la faire intervenir plus tôt, j’attendais. Mon indifférence profonde ne s’expliquait pas par une culture débordante ; j’étais loin d’avoir tout vu, mais on ne m’avait pas appris à m’intéresser. La peur – voilà en quels termes se résume mon enfance, mon éducation, mes relations. Parfois, les gens qui sont élevés dans la peur se construisent un rempart, se cachent derrière, et ainsi oublient leur fragilité puisque plus rien ne peut les atteindre… Ce n’était pas mon cas. Le renfermement n’empêchait pas les blessures béantes de s’élargir, et chaque jour je sentais se raviver ces plaies.
Chaque jour. Jusqu’à ce que je ne rencontre Queenie. Véritable petite boule d’énergie, elle était comme un soleil ; tous les regards s’aimantaient à son joli visage, tous les corps gravitaient autour d’elle. C’était une jeune femme pétillante, pleine de fougue, déterminée et têtue ; elle dégageait une force d’esprit incroyable qui agissait sur moi comme une thérapie. Elle débordait de vie, et dans son indicible générosité, elle me la transmettait comme le seul cadeau que j’avais jamais reçu, m’insufflant une ferveur nouvelle qui mit de la couleur dans mes peintures, lesquelles disparaissaient sous des flots noirs à l’époque. Nous ne mîmes pas longtemps à nous mettre ensemble. La tornade qu’elle était avait balayé de son souffle rieur ma morosité habituelle, et la clarté profonde de son regard qui lisait en moi comme dans un livre ouvert réussit l’impossible de me redonner confiance en moi. De l’amour. Un amour inconditionnel, un amour invincible. Elle m’aimait corps et âme, elle s’était offerte à moi sans que je sache encore qu’il m’était impossible de la recevoir toute entière. La place que j’avais pour elle dans mon cœur était bien trop petite pour qu’elle puisse y demeurer toujours… Je crus longtemps qu’elle l’avait élargie, cette place que ma vie et mes parents avaient faite minuscule, comme construite sous un toit qui l’aurait empêcher de pousser vers le ciel. Je crus longtemps être fou amoureux d’elle, autant qu’elle était folle de moi. Hélas, vint un jour où la désillusion, faucheuse impitoyable sous un masque de charité, frappa à ma porte et s’installa à cette même place.
Vérité… Blessante vérité : j’avais eu besoin d’elle. Quel horrible sentiment que de me savoir si égoïste… je le sentais me coller à la peau comme une substance visqueuse dont je ne pouvais aucunement imaginer me débarrasser. Seulement quand on coule et qu’on crève, ce qu’on cherche c’est un roc auquel s’accrocher – n’importe quoi à vrai dire, pourvu que ça tienne. La peinture ne jouait pas encore le rôle subliminal que je lui décharge aujourd’hui, alors j’avais besoin de quelqu’un… quelqu’un pour partager les démons qui me tuaient, quelqu’un pour recueillir mes larmes pour les comprendre avant de les essuyer sèchement, comme si elles avaient été des vulgarités répugnantes. Des hontes à pourfendre avant qu’elles n’entachent un peu plus leurs cœurs de saints. Et Queenie était là. Elle était là, elle m’aimait. Et si je croyais l’aimer, ce n’est pas par hypocrisie cruelle ou par envie de lui briser le cœur… Seulement, n’ayant jamais éprouvé de sentiments si forts, je ne savais pas. Je ne savais pas que ce que je ressentais n’était autre qu’une infinie tendresse, un attachement presque filial, analogue à celui qui m’aurait lié à ma sœur, si elle avait vécu…
Là réside sans doute le cœur du problème. Ma mère ne portait pas une unique vie en elle le trois janvier 1991 : elle en portait deux. Un garçon, une fille. Des jumeaux, ou plutôt : un seul et même être. Lorsque ma sœur expira une dernière fois au sortir de sa nuit utérine, c’était comme si on m’avait arraché la moitié de mon âme. Evidemment, je ne m’en souviens pas et pourtant… Je le sens. Il me manque quelque chose, toujours. C’est comme un vide, un gouffre, un trou béant que jamais rien ni personne ne pourra combler.
Et sans doute est-ce là la raison du blocage inconscient qui s’est peu à peu mis en place entre Queenie et moi. Du changement qui s’est opéré en moi. J’avais projeté l’image de ma jumelle perdue en elle et… si on l’aime plus que tout au monde, on ne couche pas avec sa sœur. On ne lui fait pas de déclarations enflammées, on ne la demande pas non plus en mariage – chose dont ma belle rousse rêvait… Mais ça, je n’arrivais pas à le comprendre. Je me disais simplement que j’avais un problème comme toujours, que ça passerait, et cachais mon malaise à Queenie. Queenie, la fougue du naturel, l’insaisissable joie de vivre, mais aussi l’ineffable naïveté… Elle ne se rendit compte de rien. Sauf peut-être à la fin. Quelques mois avant son accident…
***
« Tobias… qu’est-ce que tu as ? » Sa voix tremble et ses yeux, pleins des sincères larmes qu’elle n’aime pas retenir, rencontrent les miens dans une supplique muette. Je caresse brièvement sa joue d’un geste absent, puis me détourne et me lève, ramassant l’étoffe constellée de tâches de peinture pour la remettre sur mes épaules. « Je sais pas, Queenie… C’est rien, t’inquiète pas. Ca passera. » Et je sors. Je la laisse plantée là, à moitié nue, offerte à ce fantôme que je suis devenu… Je la laisse se noyer dans une tristesse silencieuse, un désespoir désavoué qu’elle cache mais que je devine infiniment grand, dans la peur obsessionnelle de me perdre. Je la laisse… Je prends mes clés, enfile des chaussures… Je la laisse, sans savoir que c’était la dernière fois que je voyais encore son souffle chaleureux animer sa poitrine. Sans savoir qu’elle va sortir elle aussi, et que cette putain de voiture va la faucher comme si elle n’était rien. Comme si le monde n’avait pas besoin d’elle pour tourner…
Et pourtant, avais-je seulement la moindre idée, en l’abandonnant ce jour-là, que sa mort allait réveiller en moi la fougue d’une réelle passion, dont le visage, pourtant quasiment inconnu, portait déjà sur mon âme son reflet refoulé…
▽ ▽ ▽
heavy in your arms.
PSEUDO/PRÉNOM ◭June/Julie.ÂGE ◭dix-sept.OÙ AS TU CONNU LE FORUM ? ◭j'ai suivi le projet sur bazzart ;)EST-CE-QU'IL TE PLAIT ? ◭évidemment, c'est un gros coup de cœur ! TEMPS DE CONNEXION ◭tout dépend de la masse de travail, mais disons... 6/7, avec au moins un rp par semaine.UN DERNIER MOT? ◭
Dernière édition par Tobias C. Cellini le Dim 22 Jan - 17:53, édité 4 fois
Cassilya Everdeen
i'm gonna rock your world!
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Ven 20 Jan - 20:50
NICO. bienvenue sur bleeding love. bon courage pour ta fiche.
Wade M. Harter
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Ven 20 Jan - 20:51
Bienvenue parmi nous Excellent choix d'avatar
Bon courage pour ta fiche
Tobias C. Cellini
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Ven 20 Jan - 22:39
Merci vous deux, je m'y mets demain si je trouve du temps entre mes portes ouvertes
Sutton Fitzgerald
Dis Moi Que Tu M'aimes, Rien Qu'une Fois
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Sam 21 Jan - 12:02
ah, tu t'es inscrite finalement. tu as fais un très bon choix d'avatar en plus. (: bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
Maxime Chuck Rhodes
CHUKIE ✖ I'm the baddest baby in the atmosphere
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Sam 21 Jan - 14:33
Nicolas Tortorella le plus beau des magnifique Choix plus que parfait. ** Bonne chance pour ta fiche
Emile Filiatrault
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Sam 21 Jan - 14:48
bienvenue
Tobias C. Cellini
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Sam 21 Jan - 18:47
Nico a du succès à ce que je vois, tant mieux Merci à tous, et oui je me suis décidée, parce que j'avais une idée de personnage et de scénario, et qu'en plus j'ai trouvé quelqu'un pour le jouer même sans être encore inscrite (→ Cézanne) Je n'ai pas eu le temps de faire ma fiche aujourd'hui, je la posterai demain (:
Darlys-Jame Cawdell
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⊿ AVATAR : kaya scodelario
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Sam 21 Jan - 20:45
TORTORELLA Bon courage pour ta fiche (a)
Cézanne F. Leroy
ASSHOLE « proud to be a problem »
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⊿ PSEUDO : Fitzgerald
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Dim 22 Jan - 16:07
MON amour ♥
XD mode compulsif et possessif on
Nohlàm-Jàson Baber-Lotz
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Dim 22 Jan - 16:30
Bienvenue sur le forum et bonne continuation
Tobias C. Cellini
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Dim 22 Jan - 17:31
Merci Fiche terminée by the way
Ambre R. McFoester
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Dim 22 Jan - 22:16
Bienvenue
Tobias C. Cellini
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Dim 22 Jan - 22:17
Merci
Roxane Hawkins
Every Teardrop Is a Waterfall.
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature... Dim 22 Jan - 22:37
tu es validée. bon jeu sur bl !
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Sujet: Re: cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature...
cellini ✈ oh my love, high above us, the sun now embraces nature...